camPoche 105

Christine au dévaloir

Et autres nouvelles. Édition originale parue en 1980 chez Éliane Vernay
Genre
Nouvelles
Année de parution
2025
Collection
camPoche 105
Nb. de pages
152

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Revue de presse
1

Dans ce magnifique premier recueil de nouvelles («L’Hiver de l’Épine Noire»; «Nuit d’enfance»; «Les Deux courbes»; «L’Œillet à la boutonnière»; «Suite sans fin»; «Christine au dévaloir») on trouve déjà la patte de Janine Massard dans la façon gouailleuse dont s’expriment tous ses personnages, un superbe travail sur les registres. On y découvre certains thèmes récurrents que Janine Massard développera dans les œuvres suivantes, le fantastique (la mort qui arrive sans que la protagoniste s’en aperçoive, souvent incarnée par un personnage qu’elle est seule à percevoir, un thème qu’on retrouvera dans Trois mariages, par exemple), les petites villes ou les villages, les familles modestes, la pauvreté et la ségrégation sociale qu’on tente de fuir pour accéder à une vie meilleure, les femmes modestes et laissées pour compte qui s’affranchissent de leur condition et lancent leur rage et leur insolence au monde, comme l’adolescente à la dérive de «L’Hiver de l’épine noire». {…}

Dans ce magnifique premier recueil de nouvelles («L’Hiver de l’Épine Noire»; «Nuit d’enfance»; «Les Deux courbes»; «L’Œillet à la boutonnière»; «Suite sans fin»; «Christine au dévaloir») on trouve déjà la patte de Janine Massard dans la façon gouailleuse dont s’expriment tous ses personnages, un superbe travail sur les registres. On y découvre certains thèmes récurrents que Janine Massard développera dans les œuvres suivantes, le fantastique (la mort qui arrive sans que la protagoniste s’en aperçoive, souvent incarnée par un personnage qu’elle est seule à percevoir, un thème qu’on retrouvera dans Trois mariages, par exemple), les petites villes ou les villages, les familles modestes, la pauvreté et la ségrégation sociale qu’on tente de fuir pour accéder à une vie meilleure, les femmes modestes et laissées pour compte qui s’affranchissent de leur condition et lancent leur rage et leur insolence au monde, comme l’adolescente à la dérive de «L’Hiver de l’épine noire». {…}

Serge Belluz