La Cour des grands

Genre
Roman
Année de parution
2025
Collection
camPoche 111
Nb. de pages
352

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Revue de presse
1

Il sort son septième roman, La Cour des grands, où des auteurs de romans de gare se confrontent à la fine fleur de la littérature romande. Un récit jubilatoire qui a les qualités de son auteur…

Populaire

À quarante-neuf ans, Jacques-Étienne Bovard est l’un des auteurs les plus lus en Suisse romande. Ce succès l’enchante, parce que son but n’a jamais été de « se confiner au petit cercle des initiés ». Comprenez : il est populaire et fier de l’être.

Enraciné

Bovard est romand, de l’intrigue à l’éditeur. Notre pays est son terreau, avec ses travers et ses moments de génie. Il a publié tous ses romans chez Campiche et assume sereinement le fait que Paris ignore son existence.

«Ruclonneur»

C’est l’adjectif qu’il emploie pour expliquer qu’il tape dans ce qu’il sait faire pour donner de la chair à ses personnages. Parce que recycler son vécu dans le romanesque, «c’est une façon idéale de ne pas mouri». Donc oui, comme le fringant Xavier de La Cour des grands, Bovard pratique le judo… et l’écriture.

Grinçant

Bovard est brillamment vache sans jamais céder à la méchanceté gratuite. Une belle manière de ne jamais trahir ses personnages.

Jouisseur

Sa langue est sensuelle, la bouffe dans ses romans souvent gargantuesque et il excelle dans l’art de la scène. Lorsque Bovard donne à voir, c’est souvent vertigineux, parfois carrément cinématographique.

Il sort son septième roman, La Cour des grands, où des auteurs de romans de gare se confrontent à la fine fleur de la littérature romande. Un récit jubilatoire qui a les qualités de son auteur…

Populaire

À quarante-neuf ans, Jacques-Étienne Bovard est l’un des auteurs les plus lus en Suisse romande. Ce succès l’enchante, parce que son but n’a jamais été de « se confiner au petit cercle des initiés ». Comprenez : il est populaire et fier de l’être.

Enraciné

Bovard est romand, de l’intrigue à l’éditeur. Notre pays est son terreau, avec ses travers et ses moments de génie. Il a publié tous ses romans chez Campiche et assume sereinement le fait que Paris ignore son existence.

«Ruclonneur»

C’est l’adjectif qu’il emploie pour expliquer qu’il tape dans ce qu’il sait faire pour donner de la chair à ses personnages. Parce que recycler son vécu dans le romanesque, «c’est une façon idéale de ne pas mouri». Donc oui, comme le fringant Xavier de La Cour des grands, Bovard pratique le judo… et l’écriture.

Grinçant

Bovard est brillamment vache sans jamais céder à la méchanceté gratuite. Une belle manière de ne jamais trahir ses personnages.

Jouisseur

Sa langue est sensuelle, la bouffe dans ses romans souvent gargantuesque et il excelle dans l’art de la scène. Lorsque Bovard donne à voir, c’est souvent vertigineux, parfois carrément cinématographique.

Catherine Riva
Femina